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L’intégration verticale dans le secteur du luxe : objectifs, modalités, effets.

Recherche académique

L’intégration verticale dans le secteur du luxe : objectifs, modalités, effets

Franck Delpal

Le marché du luxe a connu un développement impressionnant au cours des trois dernières décennies. Les chiffres du cabinet Bain & Company en témoignent : les ventes de produits de luxe sont passées de 72 milliards d’euros en 1994 à 168 milliards d’euros en 2010, soit un taux de croissance annuel moyen de 5 %. Les produits de mode (prêt-à-porter, chaussures, maroquinerie) possèdent toujours une part considérable puisqu’ils représentent la moitié de cet ensemble. Outre son poids économique, le secteur de la mode de luxe mérite de retenir l’attention de l’analyste de par l’évolution de ses structures (nombre, taille et organisation des entreprises) au cours des années récentes. Plus que les acteurs de la joaillerie, de l’horlogerie ou des parfums, les entreprises ayant pour cœur de métier la mode ont connu des changements très profonds dans leur physionomie.

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